Allée couverte de Crec’h Quillé

Juste à côté de chez moi, au bout d’un petit chemin bordé de rhododendrons, voilà la découverte d’une allée couverte.
Il s’agit d’un dolmen démesurément long composé d’une chambre unique. Son plan correspond à celui d’un long couloir. L’allée est extrêmement longue, alors que sa largeur et sa hauteur de voûte sont faibles. Elle est généralement divisée en deux parties d’inégales longueur par une dalle transversale séparant la chambre de l’anti-chambre. L’entrée est toujours située dans l’axe du monument. Selon la longueur totale de l’édifice, l’allée est recouverte, de une à plusieurs tables horizontales.
L’allée couverte de Crec’h Quillé fait 30 mètres de long, comporte 22 piliers et 2 dalles de couverture.

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L’entrée de la tombe se fait par le côté

Une des deux dalles de couverture

Menhir de Saint-Uzec

Le menhir de Saint-Uzec fur érigé entre 5000 et 4000 ans avant Jésus Christ. Il mesure un eu plus de 7,5m. Sa christianisation (les sculptures et la croix sommitale) remonte au XVIIème siècle. Effectuée par le Père Maunoir en 1674, prédicateur jésuite, à qui l’on doit la destruction de plusieurs mégalithes…
L’histoire est un éternel recommencement 🙁

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Tonquédec

Situé sur un éperon rocheux, le château de Tonquédec domine le Léguer. Sa position stratégique lui a permis de défendre un territoire et un point de passage.
Il entre dans l’histoire en 1181 lorsqu’un certain Prigent, vicomte de Tonquédec marie sa fille à Geslin de Coêtmen, famille appartenant à la haute noblesse et descendant des Ducs de Bretagne. Les Coëtmen vont être les principaux commanditaires du château actuel.
En 1394, le Duc Jean IV de Bretagne ordonne la destruction du château afin de réprimander son propriétaire qui a pris part à une rébellion…
Le château actuel est né de la reconstruction qui a suivi cet évènement.
Classé aux monuments historiques depuis 1862

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Trégastel

Trégastel est une station balnéaire de la Côte de Granit rose. Les formes curieuses des énormes rochers sont dues à l’érosion. Le granit (révision de mes notions de géologie qui datent de ma classe de 4ème…) est composé de quartz, mica et feldspath. Ce dernier se transforme en kaolin, qui est lessivé par l’eau, et le résidu des grains de quartz donne le sable. Peu à peu la pierre se façonne et présente des aspects surprenants, dont des empilements à l’équilibre hardi. Les imaginations locales n’ont pas manqué de baptiser certains de ces rochers.
J’ai pu approcher d’assez près ces empilements, en parcourant tous les rochers découverts par la marée basse cet après-midi.

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La sorcière (moi, j’aurais dit pac-man)

La tête de mort

Le dé

Ploumanac’h

Ploumanac’h est le lieu emblématique de la Côte de Granit Rose. Les chaos granitiques d’une couleur rose si particulière, constituent un site géologique unique en France, s’étirant sur 8 km. Ce site spectaculaire est longé par le sentier des douaniers, GR34, offrant un splendide panorama sur l’archipel des 7 îles, la plus grande réserve naturelle française d’oiseaux marins.
Splendide !

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Perros-Guirec

Bâti en amphithéâtre sur les falaises littorales, “Perros” domine la bassin à flot où se troyenne les ports de pêche et de plaisance. Cette situation géographique est à l’origine de son nom, qui signifie “tête de colline” en breton. Il faut donc descendre vers la mer pour profiter de ses deux plages de sable fin magnifiques que sont Trestignel et Trestraou.

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Morlaix

Enjambant le cœur historique de Morlaix, le tablier du viaduc s’aligne sur 292 mètres de long, à 62 mètres de hauteur. Depuis plus de 150 ans, cet ouvrage d’art représente symboliquement la ville.
La venelle aux Prêtres dessert le premier étage du viaduc, emblème de la cité. Tel un diadème de pierre au-dessus de l’enchevêtrement des toits d’ardoise, l’ouvrage permet de jouir d’une vue imprenable sur la ville-port et ses clochers. Ses solides arceaux en granit de l’île Grande donnent du relief aux découvertes.

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Le Faou

Porte ouverte sur la mer et la terre, la ville est un ancien relais de poste entre le bas Léon et la haute Cornouaille, et un port de la rade de Brest.
En descendant la rue principale, la succession de maisons en pans de bois et à pignon sur rue (XVIe siècle), témoigne d’une urbanisation faite pour rendre les activités marchandes repérables par les voyageurs. Au fil des siècles, les façades ont reçu une couverture d’ardoises finement travaillée, qui donne à chaque maison son originalité. Le Faou est une des rares cités bretonnes à avoir conservé ce type de demeures. Au bout de cette voie marchande, la surprenante église Saint-Sauveur (XVIe siècle) campe fièrement au fond de la ria du Steir Goz, la vieille rivière.

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