Chemin des cairns

Article issu du site Chemin des cairns insolites :

“C’est un chemin jalonné d’une cinquantaine de sculptures étonnantes, en pierres, imaginées et crées par Monique Eymard, habitante de Ceillac.

A l’origine le cairn est un amas artificiel de pierres signalant un sentier ou un col pour les randonneurs, en montagne. Parfois simple tas, véritable chef d’œuvre quand le baladin de passage est artiste dans l’âme.”

J’ai découvert ce chemin par hasard, au cours du petit séjour que j’effectue à Ceillac dans le Queyras. Bonne découverte

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Moutons

Géologie du Queyras

Vars Le Château

Matinée occupée à me balader au dessus de Vars pour atteindre le Château. De château il ne reste que quelques pierres écroulées. Mais de là-haut, superbe vue vers le Sud, Vars et l’Eyssina (qui culmine à 2837 m d’altitude), et vers le Sud, Guillestre, Mont-Dauphin et les Ecrins, dont le Pelvoux (3943m).

C’est parce que, de la vallée de la Durance, sa masse imposante cache une bonne partie du massif des Écrins – dont son point culminant, la Barre des Écrins – que le Pelvoux était pris pour la plus haute montagne de la région et cela explique aussi pourquoi il a longtemps donné son nom au massif tout entier.

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Vars et l’Eyssina

Les Ecrins

Col Agnel

C’est un des derniers cols (à la frontière avec l’Italie) encore fermé à cause de la neige. Il est le deuxième plus haut col (2744m) routier des Alpes françaises juste derrière le col de l’Iseran (2 764 m).

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Le Pain de Sucre (3208m) et le Pic d’Asti (3220m)

Vue sur les Ecrins

Fin de la balade avec les marmottes

Col de l’Izoard

Le Col venait d’être rouvert à la circulation. Il devait faire une météo plus clémente… mais voilà… la pluie était là. Ce qui a renforcé encore l’impression lunaire de cet endroit. Et j’étais seule 🙂

J’avais déjà écrit sur ce col. Revoir l’article ici.

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La Casse Déserte

La Casse Déserte

Au col, vue vers le Nord

Col de Vars fin avril

Le col de Vars est un col des Alpes du Sud. Situé à la limite entre les Hautes-Alpes et les Alpes-de-Haute-Provence, il fait communiquer la vallée de l’Ubaye avec le Queyras et l’Embrunais, entre les massifs du Parpaillon et d’Escreins. Il atteint 2 108 mètres d’altitude et a été ouvert en 1890.

Classé alternativement en 1re et 2e catégorie, le col de Vars a été franchi au total à 35 reprises par le Tour de France, dont 22 depuis 1947.

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L’Eyssina 2837m

Au col

Au col, la vallée de l’Ubaye et le Brec de Chambeyron 3389m

Petits crocus sauvages

Le Dévoluy

Le Dévoluy est un « pays » des Hautes-Alpes délimité à l’ouest par le chaînon du Grand Ferrand, au nord par l’Obiou (2789m point culminant) et le Gicon, à l’est par la montagne de Faraud et au sud par le pic de Bure.

Une petite légende issue du site Paysages Hautes Alpes :

On prétend que jadis, l’Obiou, le grand Ferrand, le Pic de Bure et le Faraud étaient des géants qui se bat­taient à coups d’énormes blocs de pierre. Pour renouveler leurs munitions, ils puisaient dans la vallée de la Souloise. Ainsi creusèrent-ils ce berceau encerclé par les blocs tombés, véritable muraille érigée sur ses pourtours. Les quatre géants, qui avaient abusé de leur puissance, furent alors pétrifiés et transformés en sommets. Leurs têtes dominent et entourent ainsi la vallée du Dévoluy.

Le Dévoluy est une enclave naturelle – voire culturelle – nichée dans le département des Hautes Alpes, frontalière avec l’Isère et la Drôme, et fortement marquée par ses relations avec la Crau. Le toponyme Dévoluy viendrait du latin “devolvere” – qui signifie tomber en roulant – , ce qui fait référence à la présence d’immenses éboulis et d’innombrables clapiers sur les limites des propriétés.

En 2014, l’interféromètre du Plateau de Bure a été renommé NOrthern Extended Millimeter Array (NOEMA). NOEMA, collaboration franco-allemande de 45 M€, consiste d’une part à porter le nombre d’antennes à 12, et d’autre part à allonger l’une des voies jusqu’à 1 600 mètres. À la fin de 2021 la sensibilité de l’observatoire NOEMA devrait ainsi avoir décuplé et sa résolution angulaire devrait être quatre fois meilleure. Ce qui en fait le plus puissant interféromètre de tout l’hémisphère Nord, et le second au monde après ALMA.

En raison de sa position sur un plateau isolé, un premier téléphérique (le plus long téléphérique à va-et-vient de France, 4kms) a été construit dans les années 1980, victime d’une catastrophe en 1999. Un nouveau téléphérique a ensuite été mis en service en 2015, lui-même victime d’un déraillement hors-exploitation fin 2016.

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La Montagne d’Aurouze vue depuis le Sud Ouest

Le Gicon et la Montagne Faraut

La Montagne d’Aurouze et Le Pic de Bure, vus depuis l’autre face (St Etienne en Dévoluy)

Le Col du Galibier

Déjà vu, mais revu avec toujours autant de plaisir ! Je vous en ai aussi déjà parlé ICI où vous allez y retrouver des détails et les premières photos.

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Le Galibier. A Gauche la Pointe du Grand Vallon (2717m), à Droite le Grand Galibier (3228m).

Au centre, on voit le Mont Blanc. Ne pas confondre avec les nuages !

Vue sur le Col du Lautaret.

Tête de Paneyron

Tentative d’ascension de la tête de Paneyron. J’ai calé avant le sommet, mais suffisamment haut pour avoir une vue splendide sur les montagnes alentours. La chaîne de l’Eyssina et le col de Vars. Au fond les Ecrins avec son point culminant, la Barre des écrins (4101m), mais aussi l’Ailefroide (3954m) et le Pelvoux (3946 m), et de l’autre côté le Chambeyron (3389m). Personne sur les chemins à cette saison. Je me suis ressourcée 😉

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La tête de Paneyron

Le Massif de l’Eyssina

Le Brec de Chambeyron

Le Brec de Chambeyron
Vars dans la vallée et les Ecrins (Pelvoux) au fond