Voilà le Château de Vizille, visité à 7 ans d’intervalle, une fois en hiver, une fois à l’automne, mais à chaque fois sous un ciel gris… et jamais pu en visiter le parc, labellisé jardin remarquable, fermé pour cause de grand vent…
Dans un parc de 100 hectares le Château Lesdiguières abrite le musée de la Révolution française. À la suite de la Journée des Tuiles en 1788, le château est le lieu de la réunion des états généraux du Dauphiné qui allait engendrer parmi d’autres événements la Révolution française. Il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862.
D’après une quittance de sept 1624, Jacob RICHIER issu de la célèbre famille de sculpteurs lorrains, travailla de1616 à 1624 à la construction et au décor du portail d’entrée du château.
Une petite légende… D’après les veillées d’hiver du Dauphiné, le mur d’enceinte du parc aurait été construit en une nuit par le diable et ses sbires, dans le cadre d’un pacte avec François de Bonne de Lesdiguières. Ce dernier devait partir à cheval en ligne droite à minuit sonnant. Si le mur était achevé avant qu’il atteigne le bout du parc, le diable emporterait son âme. Le duc de Lesdiguières accepta et arriva au bout du parc, mais alors que les démons allaient clore le mur, il fit franchir à son cheval les moellons d’un bond. Le duc conserva son âme, mais la construction fut si rapide qu’une partie de la queue du cheval resta dans le mur.
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