Corse, le retour

Retour de vacances au petit matin au départ d’Ajaccio. C’était magique. Le soleil levant a découpé l’ile dans le ciel, avec d’innombrables nuances de contre jour. Le voyage fut long, mais on n’a pas vu le temps passer.

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Corse animale/végétale

Il y a des rencontres attendues, car typiques, celle des cochons en liberté. Il y a les châtaigniers pour les nourrir ces cochons… Et il y a aussi la végétation méditerranéenne, les chênes lièges, les eucalyptus. Et des odeurs impossibles à traduire ici, malheureusement.

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Ciels corses

Lever de soleil sur la bateau en arrivant, lever de soleil toujours sur le bateau en repartant, couchers de soleil les soirs en rentrant de balade, couchers de soleil programmés à un endroit “stratégique”. Nous avons parfois vu par “hasard”, parfois attendu tranquillement, en rêvant, en contemplant. S’il je n’avais droit qu’à un seul mot pour les décrire, mais c’est réducteur un seul mot, ce serait magique !

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Sartène

Par ses abords, Sartène semble être un prolongement de la montagne. Selon Prosper Mérimée, Sartène est “la plus corse des villes corses” comme on peut le lire sur un panneau à l’entrée de la petite ville. Perchée en amphithéâtre sur les pentes du Monte Rosso, la ville domine la vallée du Rizzanese de ses très typiques hautes maisons de granit gris. Excellents souvenirs de balade dans les rues de cette ville. Nous n’avons pas manqué l’église Santa Maria Assunta, la mairie (ancien palais des gouverneurs génois), la place de la libération dite « Porta » rendez vous des sartenais, et la vieille ville.

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Le Sartenais

Olmeto culmine à 360 mètres d’altitude entre mer et montagne. Accroché à la montagne, Olmeto offre un panorama sur le Valinco, tant à partir de la route que du village.
Le plateau de Cauria, à 15km au sud de Sartène, fut longtemps d’un accès difficile. D’après les croyances populaires, les mégalithes servaient, la nuit, à des pratiques diaboliques. Les statues de Cauria apportent peut-être plus de nouveautés à elles seules que les quelques dizaines d’autres statues menhirs de Corse réunies. D’abord, par de nouveaux détails tels que ceintures, “pagne”, bras et mains, ainsi que par des cupules creusées de chaque coté de la tête… Ensuite de par leur position au nord d’un alignement, par leur identification avec les autres menhirs dits classiques, ainsi que par leur orientation.
A 7 kilomètres de Sartène, le pont de Spin’ a Cavallu, qualifié souvent de pont génois, est en réalité un pont datant du XIIIème siècle, typique de l’architecture pisane. Son arche unique s’élève à 8 mètres au-dessus de l’eau.

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Bavella

Un site de Corse où une visite s’impose !
Les Aiguilles de Bavella dominent le col du même nom (1218 m) reliant l’Alta Rocca à la côte est de la Corse. Le site se caractérise par des pics déchiquetés, de grandes murailles rocheuses et des pins tordus par le vent.
Le massif de Bavella dans sa globalité culmine un peu plus au nord, à la Punta di u Furneddu et à la Punta Muvrareccia, tous deux à 1 899 m d’altitude. Il est dominé par le grand sommet de la région, le Monte Incudine (2134 m). Au col, sur le vaste terre-plein, se dresse au sommet d’un amas de pierres la statue de Notre-Dame-des-Neiges.

A cet endroit, on peut y voir de nombreux pins laricio de Corse. Ces pins ont été beaucoup utilisés en bois de marine (mature et bordage) durant l’ancien régime. Les mâts de bateau provenaient d’arbres dominés, qui avaient poussé en peuplements serrés d’où des cernes fins.
L’habitat naturel à pin laricio de Corse, très peu représenté à l’échelle européenne, a été classé prioritaire dans le cadre de la Directive “Habitats”. Il abrite des espèces d’intérêt communautaire telles que la sittelle corse (oiseau endémique) ou encore le discoglosse corse (petit crapaud montagnard).

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Bonifacio

Bonifacio située à l’extrême sud de la Corse, est la commune française la plus méridionale de la France métropolitaine. Au sud les Bouches de Bonifacio séparent la Corse de la Sardaigne italienne.
La morphologie urbaine de la cité a été dessinée par l’édification et la superposition de trois fortifications : la fortification pisane, la fortification médiévale, dite “génoise” et la fortification française qui constitue l’ensemble défensif actuel. Celui-ci est établi sur un cap dominant la mer par une falaise qui est une « veine » de calcaire, roche assez rare en Corse dont le sol est plutôt granitique. Ce cap est long de 1 600 mètres et large de 100 mètres.
Les maisons-forteresses aux façades étroites bâties au dessus du vide restent les témoins toujours vivants de la toute première fonction de la cité : la fonction militaire.

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Piana

Pourquoi chercher les mots pour décrire cet endroit ? Le site de l’office du tourisme de la commune le fait très bien.
Piana est sans nul doute un des plus beaux sites de Corse, classé d’intérêt mondial par l’UNESCO. Le village surplombe le golfe de Porto en faisant face aux presqu’îles de Senino et Scandola. Classé parmi les plus beaux villages de France, pittoresque avec ses maisons blanches disposées en amphithéâtre et dominées par la très belle église Sainte-Marie, Piana sert de toile de fond à un site exceptionnel offrant de nombreuses visites et excursions.”
Les calanques de Piana (en langue corse calanche di Piana, au singulier ‘calanca’) : “Entre Porto et Piana, la route étroite et tortueuse s’accroche en corniche à de superbes parois de granit rouge qui tombent à pic dans la mer. Voici les Calanche, déchiquetées et burinées par l’érosion. Elles donnent l’impression d’une sculpture fantastique.”

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