Bergheim, Chemin des crèches

Bergheim se situe en Alsace entre Colmar au Sud et Sélestat au Nord. L’habitat se concentre, encore au début du XXIe siècle, essentiellement au-dedans d’un rectangle de 300 m sur 500 m, aux angles arrondis, déterminé par la double enceinte médiévale, laquelle a été conservée jusqu’à nos jours sur quasi toute sa longueur.

Le chemin des crèches propose un parcours original à la découverte de plus de 80 crèches artisanales créées par les habitants et les associations du village et mises en scène dans la cité, illuminée et décorée aux couleurs de Noël. C’est dans cette ancienne cité médiévale que les crèches sont les plus nombreuses en Alsace, représentations naïves ou véritables œuvres d’art, réalisées à base de différents matériaux.

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Lac de Lispach

Petite balade hivernale dans les Vosges sous la neige. Ici le Lac de Lispach. Ce lac, tourbière lacustre, d’une superficie de 10 ha se situe à une altitude de 900m. Un sentier bien aménagé permet d’en faire le tour tranquillement.

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Vallée de Joux

Le lac de Joux est le plus grand plan d’eau du massif jurassien. Le lac remplit le fond de la vallée de Joux, dans le canton de Vaud, en Suisse.

Le lac gèle fréquemment pendant l’hiver et dans le passé la glace était exportée en plaine et à l’étranger pour les besoins des hôpitaux, brasseries et restaurants.

Une sculpture monumentale appelée Pégase (cheval ailé divin, l’une des créatures fantastiques les plus célèbres de la mythologie)  d’André Lasserre se trouve sur la rive proche du Pont.

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Le Lac Brenet

Le Pégase sur le Lac de Joux à Le Pont

Le Lac de Joux

Nyon

Nyon, en Suisse… ne pas confondre avec Nyons, en France… Ces deux villes sont d’ailleurs jumelées.

La ville a été fondée par les Romains, sous le règne de Jules César, entre 46 av. J.-C. et 44 av. J.-C.

Entre le lac Léman, le vignoble de La Côte AOC, et le Jura, la ville de Nyon est connue pour ses festivals, son histoire et son tourisme d’affaires.

L’histoire d’Auguste Piccard, le scientifique qui a inspiré Tournesol, est à découvrir au Musée du Léman de Nyon. La ville est mise en valeur dans l’ « Affaire Tournesol », lorsque Tintin, héros de bande dessinée, enquête à Nyon à la recherche du professeur Tournesol.

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La ville vue depuis la terrasse du château

Le Léman devant les Alpes, le Mont Blanc

Vaujany

A Vaujany, au bout d’une très petite route, le belvédère du collet à 1 707 m s’ouvre généreusement sur une bonne partie de l’Oisans avec au menu la chaîne de Belledonne, la vallée de l’Eau d’Olle, le Taillefer, le massif des Grandes Rousses…

Magnifique point de vue ! Ici, la pause s’est imposée, comme point d’orgue de mon séjour !

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Le Massif des Grandes Rousses

Les Ecrins et la plaine de Bourg d’Oisans. A droite le massif du Taillefer

Le Massif de Belledonne et son Grand Pic. A la base, le tracé de la route du Col de la Croix de Fer.

Valjouffrey

Il est communément admis que le Valjouffrey doit son nom à Josfredi, personnage d’origine germanique compagnon ou vassal de Gaudemar, dernier roi burgonde qui, battu à Autun en 534 par le fils de Clovis, se serait réfugié dans la vallée voisine dénommée depuis Valgaudemar.

Valjouffrey s’étend sur la partie amont de la vallée de la Bonne, qui porte le nom de Valbonnais, Petite vallée sauvage, au coeur des Ecrins, et qui est le départ de nombreuses randonnées.

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Col d’Ornon

Le Col d’Ornon (1360m) se situe entre le massif du Taillefer à l’ouest et le massif des Écrins à l’est. et permet de relier les vallées de l’Oisans (au Nord) et du Valbonnais (au Sud). Il est un peu éclipsé par les montées du Nord plus célèbres comme le Col de la Croix de Fer et de l’Alpe d’Huez.

Pourtant, c’est un col agréable avec son aspect champêtre. Au col, petite station familiale pour le ski l’hiver.

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Vizille

Voilà le Château de Vizille, visité à 7 ans d’intervalle, une fois en hiver, une fois à l’automne, mais à chaque fois sous un ciel gris… et jamais pu en visiter le parc, labellisé jardin remarquable, fermé pour cause de grand vent…

Dans un parc de 100 hectares le Château Lesdiguières abrite le musée de la Révolution française. À la suite de la Journée des Tuiles en 1788, le château est le lieu de la réunion des états généraux du Dauphiné qui allait engendrer parmi d’autres événements la Révolution française. Il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862.

D’après une quittance de sept 1624, Jacob RICHIER issu de la célèbre famille de sculpteurs lorrains, travailla de1616 à 1624 à la construction et au décor du portail d’entrée du château.

Une petite légende… D’après les veillées d’hiver du Dauphiné, le mur d’enceinte du parc aurait été construit en une nuit par le diable et ses sbires, dans le cadre d’un pacte avec François de Bonne de Lesdiguières. Ce dernier devait partir à cheval en ligne droite à minuit sonnant. Si le mur était achevé avant qu’il atteigne le bout du parc, le diable emporterait son âme. Le duc de Lesdiguières accepta et arriva au bout du parc, mais alors que les démons allaient clore le mur, il fit franchir à son cheval les moellons d’un bond. Le duc conserva son âme, mais la construction fut si rapide qu’une partie de la queue du cheval resta dans le mur.

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