Combloux, Le Tour

Découverte des plus hauts sommets de France, cette fois ci, depuis la vallée de Chamonix.

De l’avis d’un montagnard avisé, Combloux est le meilleur endroit pour voir le Mont Blanc. En effet, la vue est incroyable.

J’ai ensuite remonté la vallée de l’Arve, pour m’arrêter au hameau du Tour. Une vision de carte postale, avec la neige sur les toits, la neige dans les rues. Là, se trouve la maison de Michel Croz, guide Chamoniard né en 1830, « le seul qui à l’âge d’or de l’alpinisme a su rivaliser, mais avec quel brio, avec les grands guides suisses ». Il est mort dans la chute collective qui suivit la première ascension du Cervin, le « pic le plus inaccessible des Alpes », selon Edward Whymper qui participa à l’ascension fatale (et dont je vous ai déjà parlé.). Retour par Chamonix avec la vue sur le Mont-Blanc dans l’autre sens.

Cliquer sur la photo pour voir la série.

 

Crêt de Chatillon

Suite de la découverte des sommets du Parc Naturel Bauges.

Arrêt au Crêt de Chatillon (1699m), sommet du Semnoz. Les cartographes romains baptisèrent la montagne « Saumon » à cause de sa forme qui leur rappelait celle de ce poisson.

Le Semnoz est formé d’un anticlinal de calcaires urgoniens long de 16 kms. Géologiquement, c’est un typique mont jurassien. À l’exception du plateau sommital, le Semnoz est complètement boisé et les forêts sont exploitées.

La station de ski, officiellement dénommée « stade de neige », se veut une des plus écologiques, car la majorité de sa clientèle est une clientèle de proximité et il n’y a pas de canon à neige.

Gravi une seule fois par le Tour de France, en 2013.

Une fois de plus, un panorama 360° sur les Alpes. Je me suis régalée.

Cliquer sur une photo pour voir la série.

De gauche à droite, en arrière plan : Les Aravis et la Pointe Percée, le Mont Blanc. A premier plan, le Veyrier, la Tournette. Lac Annecy en contrebas

Vue vers les Bauges et la Chartreuse

Aix les Bains

Aix les Bains, ville thermale connue pour ses eaux chaudes soufrées, mais aussi pour sa proximité avec le Lac du Bourget, qui se dit : la Riviera des Alpes !

Je suis allée faire un tour au Casino, pas pour jouer, mais pour admirer le plafond orné de mosaïques. Cinq coupoles sont couvertes de figures allégoriques, signes du zodiaques et de génies.

Cliquer sur une photo pour voir la série.

Le Pont du Diable

Ponts

Les nuages étaient encore sur les hauts, je suis donc aller voir en bas…

Découverte de deux ponts et leçons de géologie en lisant les panneaux du Géopark. Les Bauges ont en effet été labellisées en Géopark en 2011. Reconnu par l’UNESCO, ce label reconnait un territoire géologique exceptionnel et un travail d’animation et de valorisation de ses patrimoines. Il engage le territoire dans une démarche d’inventaire, de préservation et de valorisation très qualitative de ses géopatrimoines pour mettre en lumière la relation de l’Homme et de la Terre.

Le premier, le Pont du Diable, permet de traverser le Nant de Bellecombe et enjambe une gorge vertigineuse (quasi impossible de rendre en photo, trop profonde, très étroite, très sombre, photo un peu floue…). Un petit coin sauvage et très humide.

Le deuxième, Le Pont de l’abîme, passe au dessus du Chéran à 94m. Réclamé par les habitants pendant 30 ans, il a été construit en 1889 en un temps record, par l’ingénieur Arnodin qui révolutionna les techniques d’ancrage des ponts suspendus. Les roches dures des berges ont permis d’ancrer solidement les supports. Inscrit aux Monuments Historiques en 1946.

Au dessus, les Tours de Saint Jacques. Elles sont constituées de 3 monolithes calcaires du Valenginien qui se sont détachés du Semnoz et glissent vers le Chéran au niveau du hameau d’Aiguebelette, à raison de 2cm par an.

Cliquer sur une photo pour voir la série.

Le Pont du Diable

Le Pont de l’Abîme

Les Tours de Saint Jacques

Résumé de 3 jours #3

Première exploration du Massif des Bauges. Wiki explique mieux que moi ce qu’il représente. Un petit circuit va me hisser sur un plateau du haut duquel on découvre les sommets des massifs avoisinants : la Chartreuse, Belledonne.

Grimpette vers la Chapelle du Mont Saint Michel. Puis arrivée vers le Vallon de Bellevaux par les Col des Prés, depuis lequel on voit un des point culminant des Bauges : Le Colombier (2043m).

Enfin, visite du Château de Miolans, ancien château fort, châtellenie savoyarde puis prison qui faisait partie du système de défense contre les français au temps du Duché de Savoie, qui protégeait la “Combe de Savoie“, vallée qui permet de traverser les Alpes vers l’Italie. Dans ce château fut enfermé le Marquis de Sade.

Cliquer sur chacune des  photos pour voir chacune des 3 séries.

Voici un autre lien global

Au Mont Saint Michel. A gauche vue sur Belledonne, à droite le Mont Granier du Massif de la Chartreuse

La chapelle de la Sainte Fontaine fut construite en 1839 sur l’emplacement d’un ancien prieuré. Ce monastère fondé en 1050 fut occupé par des Bénédictins jusqu’à la Révolution.

Le château de Miolans qui surplombe la Combe de Savoie.

Résumé de 3 jours #2

Samedi, changement de lieu de séjour. Direction Chambéry par les chemins de traverse… Le Col des Aravis, puis le Col des Saisies, Hauteluce, Beaufort, le Col des Prés, le Cormet de Roselend, le barrage de la Gittaz…

Que de grands paysages !

Cliquer sur chacune des  photos pour voir chacune des 3 séries.

Voici un autre lien global

Descente du Col des Aravis. La Giettaz. Vue sur les Aravis

Hauteluce et sa très belle Eglise Saint Jacques d’Assyrie

Le Barrage de Roselend avec le Mont-Blanc (pas très blanc) en arrière plan

Le Barrage de la Gittaz, déserté des touristes. Magique !

Résumé de 3 jours #1

Beaucoup de retard dans l’écriture… Il faut dire que depuis 3 jours j’ai profité de la météo favorable et je m’en suis mis plein les yeux. Aujourd’hui, jour de pluie, j’ai travaillé !

Vendredi, journée au Grand Bornand (très jolie station) et ses alentours. Le téléphérique m’a mené au sommet du Mont Lachat de Chatillon. De là-haut, vue 360 degrés sur les chaînes environnantes, Particulièrement celle du Bargy et des Aravis. Ensuite petites incursions au Col des Annes, puis le Col de la Colombière.

Cliquer sur chacune des  photos pour voir chacune des 3 séries.

(Quelques difficultés d’affichages des photos sur le site photo. En cours de résolution. Ah, l’informatique…). Pour satisfaire la curiosité de nombre d’entre vous, j’en suis flattée, voici un lien global

Au sommet du Mont Lachat de Chatillon, vue en direction de Thônes et Annecy

Au col des Annes, à gauche les Aravis

Descente du Col de la Colombière vers Cluses. Vue sur les Aravis

Tête du Danay

Le toponyme « danay » vient du terme germanique tan signifiant « sapin » et indiquerait donc la présence d’une forêt de sapins sur les pentes du sommet. En haut, le panorama est total sur la chaîne des Aravis d’un côté et le massif des Bornes de l’autre.

A mi pente, une ferme. Son reblochon vaut le détour !

Cliquer sur une photo pour voir la série.

Les aravis et Les Confins de La Clusaz au pied

A mi pente, la ferme. Les Aravis en toile de fond

Le massif des Bornes, Glières, Bargy, Mont Lachat de Chatillon