Le gois et Noirmoutier

Je vous en ai déjà parlé ici. Le gois n’était pas libre de la mer.

Cette fois ci j’ai pu rouler la fameuse route “sous l’eau”. L’impression est totalement différente. Beaucoup de pêcheurs à pied profite de l’estran.

Découverte de Noirmoutier et de son château du XIIème siècle, puis du bois de la chaise (forêt de de pins, chênes verts et arbousiers), enfin de la plage des dames, plage carte postale de l’ile, avec son vieux ponton en bois offrant une splendide vue sur la plage avec ses cabines de bains classées en Secteur patrimonial remarquable. Véritable petit paradis.

Cliquer sur une photo pour voir la série.

Le Gois

 

Le château de Noirmoutier

La Plage des Dames

Les cabines de la plage des dames

Le Pont de l’île de Ré

Pour ceux qui attendent une histoire de ce pont, je fais la flemmarde… je vous invite à consulter le site du pont 🙂 très bien détaillé.

En résumé, il a remplacé les bacs et été inauguré en 1988, fait 3kms de long environ, et culmine à 42m de hauteur. L’été il peut voir passer jusque 60 000 véhicules par jour. La durée d’attente peut atteindre 2h et le tarif de passage est doublé !

Cliquer sur la photo pour voir la série.

Meung sur Loire

L’ancien fief des Évêques d’Orléans a fêté ses 810 ans en 2019. Cette forteresse est l’une des plus anciennes de la Loire, en témoignent ses deux façades d’époques différentes : la première médiévale, date du 13ème siècle, l’autre, plus classique, date du 18ème siècle.

Malgré sa vocation originelle, son histoire ne fut nullement militaire puisqu’elle fut le siège des Évêques d’Orléans.

Visite libre dans ce château entièrement meublé, des souterrains (qui servirent de prison), aux greniers (lieu de séchage du linge)

Cliquer sur une photo pour voir la série

Châteaux du Loiret

Découverte de quelques châteaux et bâtiments religieux du Loiret. Quelques uns seulement… car il y en a bien plus, par exemple, voir ICI

Château de Combreux. Le château est reconstruit sur un édifice du XVIe siècle entre 1887 et 1905 dans un style néo-médiéval. Cliquer sur l’image

Oratoire carolingien de Germigny des prés. Construit entre 803 et 806 par l’évêque d’Orléans Théodulf. Cliquer sur l’image

La Ferté Saint Aubin. Cliquer sur l’image

Abbaye de Fleury Saint Benoit sur Loire. Après un incendie en 1026, l’église actuelle est reconstruite et sa tour-porche occupe une place importante au début de la période dominée par l’art roman, par la haute qualité des sculptures des chapiteaux. Cliquer sur l’image

Sully sur Loire. C’est à la fois un bâtiment fortifié, destiné à défendre (donjon construit en 1395) le pont sur la Loire mais aussi d’apparat, pour organiser les réceptions fastueuses données par le seigneur. Cliquer sur l’image

Orléans

Un peu de résumé historique (raccourci)…

Après avoir conquis la Normandie en 1415 et le Bassin parisien en 1420, les anglais mettent le siège devant Orléans en octobre 1428. La capture du Dauphin Charles VII, réfugié hors de la ville, est envisagée… Les affrontements commencent et Orléans est bientôt peu à peu coupée du reste du Royaume. Le ravitaillement commence à manquer et une partie de la garnison quitte la place. Les anglais sont près de la victoire.

Jeanne d’Arc quitte alors la Lorraine. Elle rencontre Charles VII à Chinon, puis rejoint Blois et Orléans. Son arrivée réconforte la population et galvanise l’armée. Les anglais finissent par quitter la ville. Le siège est levé, et Jeanne d’Arc reçoit un triomphe. La ville n’a jamais oublié cette libération et la fête chaque année le 8 mai.

Je n’ai pas compté le nombre de statues de Jeanne d’arc dans cette très jolie ville… mais il y en a !

Cliquer sur une photo pour voir la série.

Place du Martroi

Vieilles maisons à pan de bois

La loire

Gien

Le château a été construit de 1494 à 1500 pour Anne de France (aussi appelée Anne de Beaujeu), fille de Louis XI. Il s’agit, avec le château d’Amboise, des deux châteaux du Val de Loire à avoir été bâtis avant l’arrivée des influences italianisantes et constituant ainsi un exemple de Pré-Renaissance purement Français. L’ornementation est faite à base d’appareillage de briques polychromes, créant des motifs. Le bâtiment hébergea Henri II avec Catherine de Médicis, puis Louis XIV et Anne d’Autriche durant la Fronde.

Le Pont de Gien se compose de 12 arches d’inégales grandeurs s’appuyant sur 11 piles très fortes et deux culées d’extrémité. D’un aspect monumental, il est construit en pierres de taille et moellons piqués quoique plusieurs voûtes et tympans soient composées de matériaux de petites dimensions. Ce pont a une longueur totale de 282,16 mètres entre culées.

Cliquer sur les photos pour voir la série.

Briare Pont Canal

J’ai quitté les montagnes pour ce nouveau voyage. Me voilà dans le Loiret.

Aujourd’hui découverte du Pont Canal de Briare. Le site du tourisme en Loiret décrit très bien cet ouvrage. En voici quelques extraits :

Une centaine de ponts-canaux ont été édifiés en France au cours des siècles. A tout seigneur tout honneur, le canal de Briare est le plus ancien puisqu’il fut construit sous Henri IV, notamment par l’entreprise Eiffel entre 1890 et 1896.

La renommée du pont-canal de Briare vient de la prouesse technique, humaine et esthétique des ingénieurs de la construction. La mission du pont-canal était d’enjamber la Loire pour permettre aux péniches de relier directement le canal du Berry et le canal latéral à la Loire avec le canal de Briare, et de connecter ainsi les bassins de la Saône et de la Seine.

Le résultat est à la mesure des ambitions et des moyens mis en oeuvre : pas moins de 662 mètres de long, soutenus par 15 travées de 40 m de long et 11,50 m de large, le tout suspendu à 11 m au-dessus du fleuve et pesant 13 680 tonnes (30% plus lourd que la Tour Eiffel !). Longtemps détenteur du « titre », le pont-canal de Briare figure aujourd’hui parmi les plus grands du monde.

Cliquer sur les photos pour voir la série.

Cliquer sur les photos pour voir la série.

Cliquer sur les photos pour voir la série.

Vars Le Château

Matinée occupée à me balader au dessus de Vars pour atteindre le Château. De château il ne reste que quelques pierres écroulées. Mais de là-haut, superbe vue vers le Sud, Vars et l’Eyssina (qui culmine à 2837 m d’altitude), et vers le Sud, Guillestre, Mont-Dauphin et les Ecrins, dont le Pelvoux (3943m).

C’est parce que, de la vallée de la Durance, sa masse imposante cache une bonne partie du massif des Écrins – dont son point culminant, la Barre des Écrins – que le Pelvoux était pris pour la plus haute montagne de la région et cela explique aussi pourquoi il a longtemps donné son nom au massif tout entier.

Cliquer sur les photos pour voir la série.

Vars et l’Eyssina

Les Ecrins