La Bérarde

Une route de légende ! Cette route a été ouverte aux véhicules à moteur en 1921. Dans les années 1960 une particularité est apparue avec des horaires de montée et des horaires de descente.
Dès l’achèvement de la construction des services de bus s’organisèrent. Les cars transportaient alors les clients mais pas seulement car ils chargeaient également les diverses commandes des commerçants (pain, viande, conserves…). Cette route sinueuse très abîmée par l’épreuve du temps nécessita à l’aube de deuxième millénaire 5 ans de travaux. Depuis les utilisateurs peuvent apprécier sa nouvelle silhouette dotée d’un très léger élargissement ce qui n’entacha pas sa beauté d’origine.

La Bérarde c’est un peu le bout du monde au cœur des Ecrins. Le torrent du Vénéon et ses eaux transparentes, les petits villages et hameaux accrochés aux pentes, les hauts sommets enneigés et leurs glaciers… le dépaysement est assuré !

Cliquer sur une photo pour voir la série.

Venosc en contre bas des Deux Alpes dont on peut voir les derniers toits sur la crête.

La barre des Ecrins (4101m) le plus méridional des « 4 000 alpins »

Vallon du Vénéon

Le Valgaudemar

Le Valgaudemar, ou Valgodemar, est une vallée située au centre du massif des Écrins. D’origine glaciaire, étroite et encaissée, elle est dominée par des sommets mythiques comme l’Olan (3 564 m) ou les Bans (3 669 m). Elle fait partie des grandes vallées du massif, à côté de celles du Vénéon, de la Vallouise et du Valjouffrey.

Elle est parcourue par la Séveraisse, une bouillonnante rivière venue des glaciers, longue de 33 km, qui se jette dans le Drac. Près de 3 000 m de dénivelé séparent le point le plus bas et le plus haut de la vallée.

C’est l’un des plus importants dénivelés des vallées alpines.

Cliquer sur une photo pour voir la série.

Le Pic Jocelme

Gioberney

Cascade du voile de la mariée

Tête de Paneyron

Tentative d’ascension de la tête de Paneyron. J’ai calé avant le sommet, mais suffisamment haut pour avoir une vue splendide sur les montagnes alentours. La chaîne de l’Eyssina et le col de Vars. Au fond les Ecrins avec son point culminant, la Barre des écrins (4101m), mais aussi l’Ailefroide (3954m) et le Pelvoux (3946 m), et de l’autre côté le Chambeyron (3389m). Personne sur les chemins à cette saison. Je me suis ressourcée 😉

Cliquer sur une photo pour voir la série.

La tête de Paneyron

Le Massif de l’Eyssina

Le Brec de Chambeyron

Le Brec de Chambeyron
Vars dans la vallée et les Ecrins (Pelvoux) au fond

Col de la Bonette

Vous l’avez déjà vu… mais je récidive, tellement ce col est incroyable par l’ampleur de ses paysages dénudés, et la vue 360° qu’il offre sur toutes les Alpes, quand on a le courage de gravir les derniers mètres qui mène à la Table d’Orientation. Quand je suis dans la région, j’essaie toujours d’y monter.

Cliquer sur une photo pour voir la série.

A la halte 2000. La Chaup.

La cime 2860m.

Le cirque de Salso Moreno

Belvédère du Viso

Le chemin d’accès à ce point de vue était initialement une route qui a été amorcée dès 1864 par les habitants de Ristolas, puis améliorée et prolongée avec l’aide du Ministère de l’Agriculture, de l’Armée (Bataillons de Chasseurs Alpins), du Touring Club de France, du Syndicat d’initiative du Queyras et du CAF, et bien sûr de Michelin, avec une inauguration en 1931. Une borne Michelin matérialise son départ avant la Roche Ecroulée.

La route du Belvédère est fermée à la circulation depuis 1990, la commune ne pouvant subvenir à son entretien. Quelques années avant sa fermeture, elle était encore desservie par une navette, puis une calèche. Depuis, la Réserve Nationale Naturelle Ristolas Mont-Viso a été créée, limitant au strict minimum la circulation d’engins motorisés, afin de protéger ce biotope unique.

Plus de détails sur ce site : Envie de Queyras

On fait donc désormais ce chemin à pied, et c’est bien mieux…

Cliquer sur une photo pour voir la série.

Le chemin du Belvédère

Le Viso

Le Guil

Borne Michelin

Vallon du Laverq

Le Vallon de Laverq est une ramification de la vallée de l’Ubaye. Il est entouré de montagnes, dont les plus emblématiques sont la Petite et la Grande Séolane à l’est (2 854 et 2 909 mètres), ainsi que la Tête de l’Estrop (2 961 mètres) au sud. Au centre du vallon on retrouve une petite chaîne montagneuse avec l’Aupillon et la Tête de Chabrière principalement.

Ces caractéristiques géographiques propres et son isolement en font un monde à part, une véritable entité naturelle, où le climat est d’ailleurs plus humide que dans les vallées voisines.

Cliquer sur une photo pour voir la série.

La grande et la petite Séolane

Laverq

Les cascades de Tendon

Sur le petit ruisseau du Scouet, la grande cascade de Tendon est la plus haute (32m) et la plus importante cascade des Vosges. Plus bas, il forme aussi la petite cascade, plus sauvage et ramassée, elle est tout de même très chouette à voir, surtout en ce moment où l’eau coule en abondance. Ses eaux finiront dans la Vologne, puis la Moselle…

Cliquer sur une photo pour voir la série.

La grande cascade

La grande cascade

La petite cascade

Zooming : Le ruisseau de la Hutte. Merci au petit sapin qui m’a servi de support pour ce cliché…

Pierre Percée

Le barrage de Pierre-Percée ou barrage de Vieux-Pré est un ouvrage d’art sur la commune de Pierre-Percée, en Meurthe-et-Moselle, barrant le ruisseau du Vieux-Pré. Construit par EDF entre 1981 et 1985, il est mis en service en 1993.

Son bassin versant propre étant insuffisant, il est alimenté par pompage. L’eau du lac est déversée dans la Plaine puis dans la Meurthe lorsque le débit de la Moselle est trop faible, pour compenser le prélèvement d’eau effectué pour les besoins de la centrale nucléaire de Cattenom et garantir ainsi un débit minimum de la Moselle en période d’étiage, en coordination avec l’agence de l’eau Rhin-Meuse.

Haut de 78 mètres, le barrage (barrage poids) est en partie composé de trapp, la roche la plus dure d’Europe, qui ne gèle pas et n’est pas perméable. Le cœur du barrage est quant à lui composé d’argile et de grès. La largeur est de 355 mètres à la base et de 8 mètres à la crête, longue de 330 mètres. Le volume d’eau maximal est estimé à 61,6 millions de m3

Le château de Pierre-Percée qui a donné son nom au village, bâti au Moyen Âge, ne subsiste qu’à l’état de ruines sur un site exceptionnel constitué par un éperon rocheux.

Cliquer sur une photo pour voir la série.

Le barrage

Le lac et le village sur la colline à droite

La fresque Sartorio a été réalisée en hommage aux combattants de la Grande Guerre. Il s’agit d’une oeuvre d’Antoine Sartorio, alors soldat du 363° Régiment d’Infanterie de Nice. Située à l’entrée du cimetière de Pierre Percée, elle fut classée Monument Historique en 1923