Ollioulles

Bâti sur du basalte noir, Ollioules l’exploita dès 1 100 ans av. J.-C. en fabriquant meules, mortiers et auges.
Vers le XIème siècle, le village tire sa richesse de la culture de l’olivier (d’où son nom), ainsi que du raisin, de l’amande, des figues.
Au XIXème siècle, la ville se spécialise dans la culture florale qu’elle expédie dans toute l’Europe.
Elle devient la capitale de l’immortelle jaune. La petite ville vit encore de la culture florale aujourd’hui.
Fin de la balade en passant par Le Castellet, charmant village médiéval d’où on a une belle vue sur La Cadière d’Azur et la baie de Marseille

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La Sainte-Baume

La Sainte-Baume est un massif provençal du Sud-Est de la France, dont les sommets culminent à 1 148 mètres. Il comprend également sur son flanc ouest le point culminant des Bouches-du-Rhône, le pic de Bertagne (1 042 mètres).
Le caractère exceptionnel du site tient à la présence d’une hêtraie développée, préservée depuis des siècles, et de la grotte de Sainte Marie-Madeleine, lieu de pèlerinage majeur au Moyen Âge.
Belle balade, avec des vues magnifiques, et des virages non moins plaisants.

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Cap Sicié

Balade agitée par le vent… A Six-Fours les plages, les palmiers étaient coiffés, et les drapeaux en lambeaux attestent que cela doit souffler souvent et fort !

Le massif du Cap-Sicié (360m), enclave de la Provence cristalline en Provence calcaire, fait partie des Monts toulonnais. Il est situé entre les communes de La Seyne-sur-Mer et Six-Fours-les-Plages et représente l’un des points le plus au sud de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Son sommet culmine à 352 mètres, à la chapelle de Notre-Dame-du-Mai, et celui-ci se trouve être aussi le point culminant d’une des falaises de bord de mer les plus hautes d’Europe.
Vers le début du XIVème siècle, la présence d’un feu de Garde ou « farot », destiné à prévenir les habitants de la région de la présence de navires suspects susceptibles de menacer la côte d’incursions de pirates ou barbaresques, est attestée au sommet de la « Montagne de Sicié ». Les feux allumés indiquaient que des navires étaient en vue et prévenaient ainsi les habitants de Toulon et sa région des dangers qui les menaçaient. La tour est construite en 1589 et une cabane destinée à protéger les gardiens est accolée à la tour.

En 1625, la foudre frappe la cabane du gardien, et touche aussi partiellement la tour, le gardien est miraculeusement épargné. Cet événement affecte la confrérie des pénitents gris qui décide de mettre la montagne sous la protection du Seigneur en y faisant implanter une croix puis une première chapelle sous le titre de Notre-Dame de Bonne Garde.
George Sand en a dit : “Au pied de la chapelle le précipice est vertigineux. On plonge à pic et parfois en encorbellement sur la mer. La paroi est très belle… C’est un spectacle désordonné, une fantaisie grandiose…”. De juin à septembre, l’accès est interdit aux véhicules à cause du risque d’incendie.

J’ai terminé la balade à la chapelle de Pépiole datée autour du IIème ou VIème siècle. Impressionnante !

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Vent fort !

Au Cap Sicié

Le feu de garde

Toulon vu du Cap Sicié

Chapelle de Pépiole

Chapelle de Pépiole

Sanary sur Mer

C’est le lieu où je vais habiter pendant une semaine !
Le mot Sanary est la déformation de Saint Nazaire (San Nary), lequel est vénéré dans l’église paroissiale.
La ville est animée par un agréable petit port, où l’on peut encore acheter directement du poisson auprès des pêcheurs.
Les pointus sont les bateaux à voile latine et à aviron. Menacés par l’évolution des techniques de pêche et des nouveaux matériaux, ils ont été sauvés de la disparition par des amateurs passionnés (l’Association des pointus de Sanary) qui ont su les maintenir en activité, mais aussi par la Ville de Sanary qui compte dans son patrimoine ces instruments fondateurs de son port.
Par la montée des oratoires, découverte de la chapelle Notre Dame de Pitié, sentinelle face à la mer, terminée vers 1560.
Le théâtre Galli et le lavoir du XIXème siècle alimenté par le vallat Daumas et qui n’a bien sûr plus sa fonction d’origine. Il est entouré de poivriers.

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Le port

Le port

La baie de Portissol

La chapelle ND de Pitié

Le théâtre Galli

Le lavoir

La nuit

Carnaval Vénitien

Le carnaval de Remiremont se distingue chaque année par son cocktail de masques chatoyants et de costumes éclatants. Depuis 1996, des amoureux du célèbre carnaval de Venise donnent des accents italiens, durant quelques jours, à cette coquette ville des Vosges.
Comme tout carnaval, la préparation est longue pour réaliser des costumes dignes d’une pièce de la Commedia dell’arte.
Les masques essentiellement blancs sont à l’honneur. Ces accessoires indispensables permettent aux costumés de conserver leur anonymat et de déambuler en toute liberté dans les rues animées, comme à Venise. Les codes vestimentaires sont suivis scrupuleusement. Les participants revêtent ainsi une longue cape ou ” tabarro “, un chapeau fantaisiste et des costumes somptueux, rivalisant à la fois d’élégance et d’originalité. Rien n’est oublié, pas même les chaussures ni les accessoires…

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Dijon

Sur la route entre Nancy et Lyon : Dijon !
Petit arrêt “moutarde” et bavardage sympa, puis courte déambulation dans la ville.
Il y a des explications détaillées sous chaque photo sur le site.

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Strasbourg, la gare

La gare actuelle de Strasbourg, construite par les autorités allemandes sur les plans de l’architecte berlinois Johann Eduard Jacobsthal, a été inaugurée le 15 août 1883, et remplaça dès lors la gare d’origine.
La vaste place en hémicycle se situant devant la façade de l’édifice a été déterminante pour le choix de l’emplacement de cette gare.
Avec l’arrivée du TGV Est en juin 2007, la gare de Strasbourg était devenue trop petite. Elle a donc été réaménagée et inaugurée le 5 novembre 2007. La gare d’origine a été conservée mais agrandie grâce une immense verrière.

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Strasbourg Deux Rives

Strasbourg, découverte en vélo, car à ce qu’il parait, cette ville se prête bien à ce genre d’exercice !

Bon, il faut savoir tenir sur un vélo, car le slalom est quasi permanent entre les piétons, les voitures, et les autres vélos. En effet, contrairement aux idées reçues, le réseau de pistes cyclables intra muros est… disons… discontinu !
Aujourd’hui, nous sommes partis du centre ville, en direction de l’Allemagne, et le Rhin. Après avoir côtoyé l’hôpital Civil, nous voilà à la découverte du joli Parc de la Citadelle (Vauban).
Arrivés enfin au Jardin des Deux Rives et “ascension” de la passerelle de Mimram au dessus du Rhin.

Mimram est le nom de l’architecte parisien Marc Mimram qui l’a conçue et est le créateur de nombreux ponts et passerelles en France. Cette passerelle moderne, véritable ouvrage d’art, exclusivement pour piétons et cyclistes, accessibles aux handicapés, est composée de deux tabliers qui se rejoignent au centre et forment une place de détente et un point de vue inédit sur le Rhin.
La passerelle est l’élément central du jardin et se veut un trait d’union moderne entre les deux peuples voisins.

Lors du sommet de l’OTAN de 2009 qui se tenait à Strasbourg et à Kehl, les chefs d’État emmenés par la chancelière allemande Angela Merkel se retrouvèrent le 4 avril au milieu de la passerelle où les attendait Nicolas Sarkozy arrivé lui, du côté français.

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Photo du pont : Michel