Le Col du Galibier

Déjà vu, mais revu avec toujours autant de plaisir ! Je vous en ai aussi déjà parlé ICI où vous allez y retrouver des détails et les premières photos.

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Le Galibier. A Gauche la Pointe du Grand Vallon (2717m), à Droite le Grand Galibier (3228m).

Au centre, on voit le Mont Blanc. Ne pas confondre avec les nuages !

Vue sur le Col du Lautaret.

Les Arves

Le massif des Arves est profondément entaillé par la rivière Arvan au niveau de la commune d’Albiez-Montrond, qui coule du sud vers le nord, pour se jeter dans l’Arc à hauteur de Saint-Jean-de-Maurienne.

Des travaux ont dévié ma route par le col du Mollard. Quelle bonne idée ! Les 40 lacets descendants furent un vrai plaisir ! L’arrivée vers Saint Jean de Maurienne offre une belle vue sur la ville et sa vallée.

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Les Aiguilles d’Arves. Aiguille Septentrionale (3163m), également appelée Tête de Chat; Aiguille Centrale (3 513 m); Aiguille Méridionale (3 514 m).

Au Col du Mollard, vue sur Albiez Montrond

Saint-Jean de Maurienne et sa zone industrielle

Col de la Croix de fer

Appelé autrefois col d’Olle car situé dans la combe d’Olle, lieu de la source de l’Eau d’Olle, le chemin muletier qui emprunta le col durant plusieurs siècles a finalement été transformé en route, d’abord en 1900 de Saint-Sorlin-d’Arves jusqu’au col (2065m), puis en 1912 pour son prolongement jusqu’au col du Glandon (inauguration le 14 juillet 1912).

Emprunté 20 fois par le Tour de France (classé hors catégorie), le versant sud-ouest est long de 31kms, avec des pentes de fort pourcentage.

Le col de la Croix-de-Fer fait géologiquement partie du massif des Grandes Rousses, qu’il délimite sur l’est, et relie les communes de Saint-Jean-de-Maurienne au nord-est et du Bourg-d’Oisans au sud.

Le col longe le barrage de Grand’Maison situé sur l’Eau d’Olle. Le lac est le réservoir supérieur de la STEP de Grand’Maison, centrale de pompage-turbinage la plus importante de France. Il s’agit également de la centrale hydroélectrique la plus puissante de France tous types confondus avec une puissance installée de 1 800 MW, soit 9% du parc hydroélectrique exploité par EDF en France.

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Le Barrage de Grand’Maison.

La Combe d’Olle.

La Vallée des Arves.

La Croix de Fer.

La Bérarde

Une route de légende ! Cette route a été ouverte aux véhicules à moteur en 1921. Dans les années 1960 une particularité est apparue avec des horaires de montée et des horaires de descente.
Dès l’achèvement de la construction des services de bus s’organisèrent. Les cars transportaient alors les clients mais pas seulement car ils chargeaient également les diverses commandes des commerçants (pain, viande, conserves…). Cette route sinueuse très abîmée par l’épreuve du temps nécessita à l’aube de deuxième millénaire 5 ans de travaux. Depuis les utilisateurs peuvent apprécier sa nouvelle silhouette dotée d’un très léger élargissement ce qui n’entacha pas sa beauté d’origine.

La Bérarde c’est un peu le bout du monde au cœur des Ecrins. Le torrent du Vénéon et ses eaux transparentes, les petits villages et hameaux accrochés aux pentes, les hauts sommets enneigés et leurs glaciers… le dépaysement est assuré !

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Venosc en contre bas des Deux Alpes dont on peut voir les derniers toits sur la crête.

La barre des Ecrins (4101m) le plus méridional des « 4 000 alpins »

Vallon du Vénéon

Le Valgaudemar

Le Valgaudemar, ou Valgodemar, est une vallée située au centre du massif des Écrins. D’origine glaciaire, étroite et encaissée, elle est dominée par des sommets mythiques comme l’Olan (3 564 m) ou les Bans (3 669 m). Elle fait partie des grandes vallées du massif, à côté de celles du Vénéon, de la Vallouise et du Valjouffrey.

Elle est parcourue par la Séveraisse, une bouillonnante rivière venue des glaciers, longue de 33 km, qui se jette dans le Drac. Près de 3 000 m de dénivelé séparent le point le plus bas et le plus haut de la vallée.

C’est l’un des plus importants dénivelés des vallées alpines.

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Le Pic Jocelme

Gioberney

Cascade du voile de la mariée

Tête de Paneyron

Tentative d’ascension de la tête de Paneyron. J’ai calé avant le sommet, mais suffisamment haut pour avoir une vue splendide sur les montagnes alentours. La chaîne de l’Eyssina et le col de Vars. Au fond les Ecrins avec son point culminant, la Barre des écrins (4101m), mais aussi l’Ailefroide (3954m) et le Pelvoux (3946 m), et de l’autre côté le Chambeyron (3389m). Personne sur les chemins à cette saison. Je me suis ressourcée 😉

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La tête de Paneyron

Le Massif de l’Eyssina

Le Brec de Chambeyron

Le Brec de Chambeyron
Vars dans la vallée et les Ecrins (Pelvoux) au fond

Col de la Bonette

Vous l’avez déjà vu… mais je récidive, tellement ce col est incroyable par l’ampleur de ses paysages dénudés, et la vue 360° qu’il offre sur toutes les Alpes, quand on a le courage de gravir les derniers mètres qui mène à la Table d’Orientation. Quand je suis dans la région, j’essaie toujours d’y monter.

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A la halte 2000. La Chaup.

La cime 2860m.

Le cirque de Salso Moreno

Belvédère du Viso

Le chemin d’accès à ce point de vue était initialement une route qui a été amorcée dès 1864 par les habitants de Ristolas, puis améliorée et prolongée avec l’aide du Ministère de l’Agriculture, de l’Armée (Bataillons de Chasseurs Alpins), du Touring Club de France, du Syndicat d’initiative du Queyras et du CAF, et bien sûr de Michelin, avec une inauguration en 1931. Une borne Michelin matérialise son départ avant la Roche Ecroulée.

La route du Belvédère est fermée à la circulation depuis 1990, la commune ne pouvant subvenir à son entretien. Quelques années avant sa fermeture, elle était encore desservie par une navette, puis une calèche. Depuis, la Réserve Nationale Naturelle Ristolas Mont-Viso a été créée, limitant au strict minimum la circulation d’engins motorisés, afin de protéger ce biotope unique.

Plus de détails sur ce site : Envie de Queyras

On fait donc désormais ce chemin à pied, et c’est bien mieux…

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Le chemin du Belvédère

Le Viso

Le Guil

Borne Michelin