Mont-Saxonnex

Mont-Saxonnex (en Haute-Savoie on ne prononce par le x…) est une commune d’abord agricole mais également industrielle qui a, parmi les premières, profité de l’essor de l’industrie horlogère, au XVIIIe siècle. La plupart des habitants alliant activité agricole et industrielle fabriquaient tout au long du XIXe siècle et jusqu’à la Seconde Guerre mondiale pignons, axes et autres pièces de montres qui se vendaient aux assembleurs genevois. Il en a résulté un type d’habitat caractéristique encore aisément observable où l’on voit des bâtiments de ferme dont un des côtés est percé de baies vitrées, éclairant un plan de travail où étaient réalisées les opérations minutieuses de façonnage de petites pièces. Les ouvrants de ces fenêtres pivotent vers l’extérieur, car le plan de travail était surmonté de courroies de transmission reliant un arbre en position haute à diverses petites machines. Ces ouvertures permettaient également de faciliter le chargement des barres de matière première dans les machines qui réalisaient les pièces métalliques.
Aujourd’hui, la commune est une petite station familiale de sports d’hiver.

L’église (début XIXe siècle), consacrée à Notre-Dame de l’Assomption, est posée sur un piton rocheux qui domine la vallée de l’Arve et offre un point de vue exceptionnel répondant au nom de Belvédère du Faucigny.
La chapelle de Pincru, fondée en 1664 par un habitant ayant fait fortune en Allemagne, avec son clocher à bulbe, ses ardoises et son retable classé datant du XVIIe siècle (école italienne) est typiquement représentative du style de la région. Construite en rive droite du Bronze, près du Pont de la Villia, elle est le centre du hameau de Pincru, second pôle d’habitation de la commune.

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Mont-Saxonnex et le Mole

Mont-Saxonnex et le Haut Jura à l’horizon

Marignier vu du Belvédère de Faucigny

Plateau de Solaison

Outre la vue panoramique dont on y jouit sur les Alpes de Savoie, du Valais et la chaîne du Jura, le plateau de Solaison joue les alpages en été et le domaine skiable l´hiver dans un cadre sauvage préservé.
La première photo est celle, à droite, de la Pointe d’Andey 1878m, qui surplombe le plateau. De là-haut la vue doit être impressionnante. Sur la gauche, les Glières. J’espère aller découvrir ces lieux en rando cet été…
La deuxième nous montre la chaîne du Bargy (de gauche à droite : le Grand Bargy, 2301m, la pointe Blanche, le Jalouvre 2408m, et devant, les Rochers de Leschaux 1885m)

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Orgelet

Arrêt à Orgelet lors de mon voyage vers la Haute-Savoie.
Cette commune du Jura, comportant une fruitière à Comté (miam!) est la patrie de Cadet Roussel (celui de la chanson qui a vraiment existé) et de Pierre-François-Xavier Bouchard, découvreur de la pierre de Rosette.
Juste vu l’église qui était fermée, et acheté du Comté, évidemment !
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Hiver à Montpiton

Montpiton, petit village de Haute Savoie, non loin de La Roche sur Foron, avait une seule petite piste de ski. Mais la station, géré par des bénévoles, a été fermée cette année. La pente permet de faire quelques descente de luge, avec devant soi le Mont Salève, au delà, le Jura, et en contrebas, le Léman, lorsqu’il n’est pas trop producteur de nuages bas, qui rabattent la pollution dans la vallée. En tout cas, en traversant ces nuages , on peut y admirer la nature emprisonnée dans le givre.
Belles journée, beaux paysages !

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Place Stanislas

In Extremis voilà des photos de notre belle Place Stanislas décorée pour Noël.
Le sapin est habillé de 4 000 mètres linéaires de guirlandes leds et de 140 bouquets lumineux, en rouge et blanc, en écho aux couleurs de la Pologne, pays invité cette année.
Et Stanislas coincé dans sa bulle, grosse boule de Noël, pour tenir compagnie au sapin vosgien de 57 ans.
Que dire d’autre ? c’est magnifique !
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Samoëns

Petite sortie dominicale un peu tard dans l’après-midi, il faisait -2° !
Découverte de Samoëns située au cœur des Préalpes du nord dans la vallée du Giffre.
“Cette commune de montagne est une des plus étendues du département de la Haute-Savoie. La vallée de Samoëns et ses neuf hameaux se distinguent par la richesse de son patrimoine et une activité continue tout au long de l’année, principalement emmenée par le tourisme hivernal et estival.”
Bon, çà c’est le descriptif de Wikipédia. Nous, on n’a pas vu grand monde… sauf peut être dans la maison de la Jaÿsinia, pâtisserie qui existe depuis 1880, et où opère Thierry Froissard, Champion du monde de pâtisserie en 1989 et meilleur ouvrier de France. Le Biscuit de Savoie y est excellent !
Fin de la sortie en observant les parapentistes qui ne devaient pas avoir bien chaud dans les airs, à la lumière de la lune.

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