Un nouveau spectacle de 20 minutes est diffusé cette année Place Stanislas : La Belle Saison. Heureusement que le site de la ville explique un peu les différents tableaux… parce que même moi, nancéienne depuis toujours, j’ai eu du mal de m’y retrouver.
Jardin des Panrées
Depuis plus de 12 ans, Jean Louis, Yvon et bien d’autres veillent en permanence sur ce jardin, le façonnent à la binette, à la pelle et à la pioche. Petit à petit, ils défrichent de nouveaux espaces, ils intègrent de nouvelles espèces afin d’améliorer la biodiversité et pour encore mieux faire découvrir les beautés de la nature, partager leur souci de la préserver et de transmettre cette belle aventure qu’est le jardinage floral.
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Lac de Lispach
Un incontournable… La commune de La Bresse, dans les Hautes-Vosges, possède un des plus beaux patrimoines naturels du département, notamment en ce qui concerne les tourbières.
Le ruisseau du Chajoux collecte les eaux d’une petite vallée glaciaire montagnarde proche de la Grande crête du massif vosgien qui rassemble, sur une faible superficie, un patrimoine naturaliste et paysager exceptionnel.
Cette vallée creusée dans des granites et gneiss est marquée par une forte empreinte glaciaire. Dans les dépressions et sur les pentes se sont installées des tourbières de toutes sortes : lacustres, tourbières de pente, ou encore tourbières hautes entourées de pessières naturelles.
Le Lac de Lispach est un plan d’eau semi naturel. Il occupe, à 912 mètres d’altitude, un creux façonné par les glaciers et pourvu d’un barrage artificiel. Ce lac est occupé sur près de la moitié de sa superficie par un radeau de tourbe, ou tourbière flottante qui donne tout son charme au lieu et qui illustre une phase importante de l’évolution d’une tourbière, occupant peu à peu la surface de l’eau. Cette tourbière haute de Lispach est probablement celle qui a conservé aujourd’hui la plus forte épaisseur de tourbe dans le massif vosgien et pour tout le Grand Est.
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Au Salève
Le Salève, une destination emblématique de Haute-Savoie. Surplombant la région d’Annemasse et du Genevois, il offre aux visiteurs et randonneurs une vue panoramique à couper le souffle. Appelé aussi le « balcon de Genève ». Avec ses 1 379 mètres au sommet du Grand Piton, il permet une vue 180° sur le genevois, et 180° aussi de l’autre côté, au Point de vue du Plan, sur le Mont-Blanc et le Lac d’Annecy.
Genève vu du point de vue Le Petit Pommier
Au Plan, vue vers Annecy
Au Plan, vue vers le Mont Blanc
Col de Cenise
Du fait de son patrimoine naturel remarquable et de son cadre paysager unique, le plateau de Cenise est inclus au sein du site Natura 2000 du massif du Bargy,
désigné pour protéger un certain nombre d’habitats et d’espèces représentatifs de la biodiversité européenne. Il est également en voie d’être labellisé Espace Naturel Sensible (ENS), un label décerné par le Département pour des sites ayant vocation à être préservés et mis en valeur auprès du grand public.
Chaine du Bargy. La pointe Blanche et le Jallouvre
La Croix des Frachets
Au Col
Les Saisies
Le nom Saisies dérive, par féminisation, des noms patois de saix, scex, sex, dérivant de l’ancien français saxe, qui désigne un « rocher », ou encore le « pays des rochers ».
Plus récemment, en lien avec le développement touristique, d’autres variantes se sont développées. Le col serait ainsi le lieu où l’on percevait des taxes diverses (taille, gabelle…). Une autre version, tenant plus de la légende, indique que le nom fait référence au commerce de contrebande, voire « à prendre au sens premier du mot, à savoir que, lorsque les paysans montaient là-haut pour une foire traditionnelle, les douaniers et gendarmes réclamaient des comptes aux mauvais payeurs et « saisissaient » leurs biens ». On fait reposer cette légende sur la période de l’après annexion de la Savoie, de 1860 à 1934, au cours de laquelle a été votée la création d’une zone franche, conservant des avantages fiscaux avec son voisin la Suisse et notamment Genève, et recouvrant la partie nord du duché de Savoie, soit le nouveau département de la Haute-Savoie, aurait permis à quelques alpagistes des environs de faire du commerce de contrebande.
Le Signal de Bisanne à 1 941 mètres d’altitude, point culminant d’un replat formant le col des Saisies. Son profil dissymétrique est caractérisé par de fortes pentes sur ses flancs nord-ouest au-dessus des gorges de l’Arly et sud au-dessus du Doron de Beaufort tandis qu’au nord-est, des pentes plus faibles descendent sur le col des Saisies.
Les Saisies depuis le télésiège La Legette. A droite le Charvin (Aravis)
Le Mont Blanc vu depuis le Mont Bisanne (1941m)
Beaufort et le Beaufortain vu depuis le Mont Bisanne
Pointe de Beauregard
Le Plateau de Beauregard offre un magnifique panorama sur la Chaîne des Aravis et le Mont-Blanc, ainsi que sur les massifs des Bornes et de la Tournette.
Ce site naturel de 413 hectares est classé Natura 2000. Il possède une faune et une flore remarquable à admirer ! En été, le Plateau est un alpage où les troupeaux vivent avant de redescendre l’hiver dans la vallée. En hiver, ce majestueux Plateau de Beauregard se transforme en domaine skiable nordique et alpin, accueillant piétons avec et sans raquettes, skieurs alpins et fondeurs.
La Grâce-Dieu et l’Audeux
Placée sous la titulature de Notre-Dame, est une ancienne abbaye cistercienne, située à Chaux-lès-Passavant, dans le Doubs. Elle occupe un vallon boisé, en bordure de la rivière l’Audeux. L’église, qui date du XIIe siècle, comporte quelques structures romanes de l’édifice d’origine. Le chœur néo-gothique a été reconstruit au XIXe siècle2. Les bâtiments conventuels datent du XVIIIe siècle.
L’Audeux est un cours d’eau de 24,2 km. L’Audeux naît sur le territoire d’Eysson, petite localité du Doubs proche d’Épenouse où il est aussi appelé La Creuse. Dans sa première partie, il s’écoule à pente faible dans des prairies et pâtures humides en direction du nord-ouest mais, à partir d’Orsans, il recoupe une série de plis transverses, se resserre en plusieurs canyons boisés en créant plusieurs cascades dont la grande cascade haute d’une dizaine de mètres. Il traverse ensuite le domaine de l’Abbaye de la Grâce-Dieu et s’écoule dans un secteur où le sous-sol est très faillé et subit alors plusieurs pertes, restant à sec la majeure partie de l’année. Cliquer sur une photo pour voir la série