Papillons

Visite de la belle exposition temporaire sur les papillons au Jardin Botanique de Nancy. Nous sommes entrés dans une serre (chaude et humide) où les papillons volaient en liberté, et se posaient même sur les visiteurs, pour le plus grand plaisir des enfants.
Malheureusement, je n’ai pas identifié ces magnifiques insectes.

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Saint-Nicolas

Saint-Nicolas !
En Lorraine, on connait la légende des trois petits enfants… Mais on connait moins celle du sauvetage en mer. La voici :
“Un jour où saint Nicolas se rendait en pèlerinage en Terre Sainte, il rencontra un marin et lui prédit qu’une horrible tempête allait se lever en mer. La prédiction se révéla juste. Le marin qui se trouvait sur son bateau avec tout son équipage fut pris dans le mouvement tumultueux des flots. La tempête fut si puissante que tous les passagers se crurent perdus ; mais Nicolas rendit le calme à la mer et les personnes à bord furent sauvées. Depuis ce jour, les marins ont choisi Saint-Nicolas comme patron de leur corporation. Lorsque la tempête se lève et qu’ils se sentent en danger, ils demandent au saint de veiller sur eux. Saint-Nicolas devient le saint patron des bateliers, pêcheurs, marins et mariniers, déchireurs de bateaux et débardeurs.” A Nancy, l’Association La Passerelle a organisé la fête de ce Saint Nicolas sur l’eau. Cette première édition fut très sympathique, et on espère reproduire l’an prochain.
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Nancy Jardin Ephémère 2018

Le 15e Jardin Ephémère de la place Stanislas, “Japonica”, s’inspire du Japon et célèbre les relations privilégiées que Nancy entretient avec Kanazawa depuis 45 ans. Très belle réalisation cette année. J’ai beaucoup aimé !

Voici un lien vers le facebook de la ville, où on voit une photo de la Place Stan prise depuis un drone.

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Ile d’Aix

L’ile d’Aix est un morceau de terre de 129ha (longueur de 3 kms) situé à quelques encablures des côtes d’Aunis, au cœur de l’archipel charentais : l’île de Ré au Nord, l’île d’Oléron et Fort Boyard à l’Ouest, l’île Madame au Sud. Elle concentre toute la diversité des paysages du littoral de la Charente Maritime. Ile de quiétude, elle ne se découvre qu’à pied, à vélo ou en calèche.

Vauban va initier une “ceinture de feu” pour défendre, l’embouchure de la Charente et l’Arsenal de Rochefort. A chaque fort, son histoire et son rôle : le Fort Lupin protège la Fontaine Royale Lupin et les navires en provenance de l’Arsenal de Rochefort et ceux qui remontent le fleuve Charente, le Fort Vauban surveille l’embouchure du fleuve entre Fouras-les-Bains et Port-des-Barques, et le Fort de l’île Madame gendarme la rade de l’île. Viendront ensuite Fort Boyard en 1801, le Fort Enet (1809) qui joue le rôle de sentinelle entre Fouras-les-Bains et l’île d’Aix.

Et sur l’Ile d’Aix, le Fort de la Rade construit en 1703 et le Fort Liédot (construit par Napoléon en 1810).
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Saint Martin de Ré

On lui attribue souvent le titre de “capitale de l’île” de Ré. Cette dénomination correspond à son histoire et à son développement économique. Bien que Saint Martin ne soit pas le village le plus peuplé, il reste le plus chargé en histoire et est sans conteste le plus éloquent au regard du passé.

Magnifique étoile de fortifications construite à la fin du XVIIème siècle par Vauban, le village a su garder intacts ses 14,5 kms de murailles et ses bâtisses. Cette œuvre fait partie des 12 sites majeurs du Réseau Vauban, et est classée au Patrimoine Mondial de l’Humanité de l’UNESCO.

Sous Napoléon III, deux décrets successifs créèrent la transportation des condamnés aux travaux forcés (une peine créée en France en 1560) dans les colonies. A partir de 1873, Sain-Martin-de-Ré devient l’unique dépôt de condamnés destinés aux colonies pénitentiaires de Guyane et de Nouvelle-Calédonie. Aujourd’hui, Saint-Martin-de-Ré reste liée à cette histoire : sa citadelle et sa caserne servent de prison, la plus importante maison centrale de France depuis 1970 avec 450 détenus, tous condamnés pour de longues peines.

A quelques kms de là, l’abbaye des Chateliers, ancienne abbaye cistercienne aujourd’hui ruinée, et le fort de La Pree. Ce monument est le plus vieux fort de l’île de Ré, construit en 1626, il avait pour objectif premier d’assurer la souveraineté du roi Louis XIII sur l’île. Ce site fût menacé de destruction de nombreuses fois au fil des siècles, notamment sous le règne de Louis XIV avec l’ingénieur Vauban. Ce dernier fit détruire tout le système défensif extérieur et construire des bâtiments en adéquation avec les besoins de l’époque. Le fort la Prée tomba dans l’oubli à la fin du XVIIème siècle au profit de la citadelle de Saint Martin de Ré.

Et pour le retour sur le continent, passage sur le Pont de Ré, ouvert en 1988.

 

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Ile de Ré

L’île est surnommée « Ré la blanche » en raison de la teinte caractéristique de ses maisons traditionnelles.
Belle traversée de l’île jusqu’au phare des baleines. L’ascension du phare nous a amené 60m plus haut. Comme d’habitude, vue panoramique pour découvrir cette île toute plate. Puis manger une bonne crêpe, marcher dans le sable, respirer le bon air iodé, admirer les sportifs en kitsurf… que de bons moments en bonne compagnie!

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La Rochelle

Cité millénaire, dotée d’un riche patrimoine, la capitale historique de l’Aunis est aujourd’hui devenue la plus importante ville entre l’estuaire de la Loire et l’estuaire de la Gironde. Ses activités urbaines sont multiples et fort différenciées.
Rappel d’un peu d’histoire…
Reine de France en 1137, Aliénor, fille de Guillaume, apporte au royaume l’Aquitaine. Par son divorce et son remariage avec Henri II Plantagenêt, roi d’Angleterre en 1154, la province devient anglaise et avec elle “le meilleur port de la côte atlantique.”
Par charte édictée par Aliénor en 1199, l’administration de la ville est confiée à 24 échevins et 75 pairs. Ce corps de ville élisait chaque année trois candidats parmi lesquels le suzerain choisissait le maire, nommé pour un an. Cette tradition perdura jusqu’à la victoire de Louis XIII sur la ville, lors du Grand Siège de 1628. Guillaume, Seigneur de Montmirail, élu Maire de La Rochelle en 1199 est ainsi le Premier Maire de l’Histoire de France.

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Angers

Capitale historique et place forte de l’Anjou, berceau de la dynastie des Plantagenêts, Angers est l’un des centres intellectuels de l’Europe au XVe siècle sous le règne du « bon roi René ». La ville doit son développement comme son rôle politique et historique à sa position au niveau d’un point de convergence géologique, hydrographique, culturel et stratégique.
La ville est traversée par la Maine, rivière de 10 kms seulement et issue de la réunion de la Mayenne et de la Sarthe.
Construite au XIIIe siècle, la gigantesque forteresse de dix-sept tours de schiste et de calcaire qui s’étendent sur près d’un demi-kilomètre dégage une formidable impression de puissance. Aux XIVe et XVe siècles, les ducs d’Anjou, princes éclairés, redonnent à Angers le faste d’une vie de cour dont témoigne l’architecture raffinée du site.
Le pont de Verdun, plus vieux passage d’une rive à l’autre, relie le centre-ville à La Doutre, depuis le XIe siècle.

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